quand la presse se fait l'écho de la création du musée des Arts Défécatoires, ça donne ce petit exercice de style dans Libération du 18 juin. Quel bonheur que la reconnaissance publique, publiciste et nationale. Tant d'efforts récompensés par cette demi page jouissive et libératrice. Qui oserait parler de torchon?
Bravo à Edouard Launet l'auteur de ces lignes inénarrables!
l'association pour la sauvegarde du premier cimetière de l'ART mondial est une branche résolument moderniste du mouvement mécréant qui pratique le labeur dominical.
Emblavés dans ce lieu de perdition de Nolléval où glougloute l' Andelle, les membres s'adonnent aux joies de l'effort communautaire et aux plaisirs des enterrements de première classe.
Mais rendez vous compte par vous mêmes, malheureux absents :
Tazar : regardez bien la profondeur de champ !
Dominique Vervish va enterrer un pingouin japonais radioactif qu'il appellera "Fukushima mon amour"...
Vraiment du beau linge pour l'inauguration du Musée des Arts Défécatoires!
toutes les photos sont de Pascale Marchal
l'association pour la sauvegarde du premier cimetière de l'ART mondial est une branche résolument moderniste du mouvement mécréant pratiquant du labeur dominical.
Emblavés dans ce lieu de perdition de Nolléval où glougloute l' Andelle, les membres s'adonnent aux joies du labeur communautaire et aux plaisirs des enterrements de première classe.
Mais rendez vous compte par vous mêmes, malheureux absents :
